mercredi 1 mai 2013

Nightfall / Nouvelles tendances en peinture figurative


Chouchou me transmet un e-mail: une exposition portant le titre d'une nouvelle de Isaac Asimov, Nightfall. Exceptionnel auteur de science-fiction. Pour ceux qui ne connaissent pas, c'est l'histoire d'une planète avec six soleils qui ne connaît ni l'obscurité ni la nuit. L'histoire se développe lorsqu'un archéologue se rend compte que plus ou moins tous les 2000 ans, un cataclysme engloutit la civilisation. Parallèlement, un astronome se rend compte que la trajectoire de la planète est irrégulière et qu'arrivera un bref moment où aucun des soleils ne sera visible: pour la première fois depuis longtemps, très longtemps, la nuit tombera. Et il faut préparer les populations. Dans le récit d'Asimov, ce qui rend les gens fous, ce n'est pas la nuit, mais l'apparition des milliers d'étoiles dans le ciel.


Tim Eitel

Le flyer de l'expo parle donc de cette nouvelle qui aurait inspiré les peintres choisis et "promet" que l'exposition retracera l'histoire de la peinture figurative de ces 10 dernières années en Europe. Je suis aussi attirée par ce portrait de dos qui figure sur les pubs. Perspective intéressante pour un portrait.

Je descends en tram, passe à l'ambassade pour rejoindre chouchou et nous voilà à traverser le pont à pinces, direction Staroměstská. L'exposition se tient à la galerie Rudolfinum, près de la salle de concert du même nom, dont nous avons déjà parlé. Il s'agit d'un prolongement du bâtiment. Le portail d'entrée est flanqué de deux sphinx et de quelques touristes. Cette galerie n'a rien de privé. Elle est une institution d'Etat financée par le Ministère Tchèque de la culture.

Nous nous acquittons de notre petite obole et nous voila chemin vers les étages. Il n'y aura malheureusement pas de photos: les appareils sont interdits dans le musée.


Le hall d’entrée  juste après la caisse, est impressionnant et très bien rénové  Un splendide escalier massif mène à l'exposition, et juste à côté se trouve le café du musée  qui a l'air bien sympa. En face de l'escalier se trouve une série de grandes portes, et je pense qu'initialement, ces portes devaient être les portes d’entrée  Le son d'un instrument nous rappelle que la partie musicale du Rudolfinum n'est pas loin, et qu'il doit y avoir des classes.


Bon, les salles sont bien entretenues, mais cela sent un peu le poussiéreux. Quelques oeuvres ornent les murs, mais finalement rien d'ébahissant. Un groupe se fait guider en tchèque. 



Okay, quel lien avec une exposition liée à la nouvelle de Asimov? Et l'histoire de la peinture figurative de ces 10 dernières années ? En fait nous les cherchons toujours.

Le site de l'exposition est ici.

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