samedi 31 octobre 2015

Happy Halloween !

Photo chb

Au fil de quelques promenades...


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Mais oui, du croquet à Prague....


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vendredi 30 octobre 2015

Conférence de Jiří Pehe

Ce soir, direction la conférence organisée par l'ambassade en collaboration avec De Lantaarn, l'association des néerlandophones à Prague. L'orateur c'est Jiří Pehe, politologue, philosophe et romancier, qui fut longtemps le conseiller du président Havel.

Jiří Pehe
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Il est venu parler de son premier roman traduit en anglais : Three Faces of an Angel (Tři tváře anděla). Une grande épopée qui retrace un siècle d'existence d'une famille juive allemande, du début du 20e siècle à quelques instants avant la tragédie du 11 septembre à New York.


L'ambassadeur de Belgique
accueille et introduit le conférencier
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Après l'exposé proprement dit, place aux questions-réponses qui portent, entre autres, sur la situation des réfugiés de plus en plus nombreux à venir frapper à nos portes.


Photo jfg
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Une soirée des plus intéressante, grâce à ce Tchèque hors du commun. Pour plus d'info sur sa vie, voyez l'article sur Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ji%C5%99%C3%AD_Pehe





mardi 27 octobre 2015

Signal Festival II

La promenade dans le Signal Festival continue, de soir en soir.

La cathédrale vue à travers les arbres du Magical Garden de Kari Kola
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De partout, ou presque, vue sur Medusa de l'Atelier BelCandor (CZ) ou un jeu de grands jets lumineux mouvants partant de la réplique de la Tour Eiffel. Simple mais en même temps impossible de la louper.

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En route vers le jardin magique de Kari Kola.

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Mon autre oeuvre préférée de cette édition 2015 : Magical Garden du Finlandais Kari Kola. Il a illuminé les arbres de l'île aux archers, Střelecký Ostrov + bande son. De près comme de loin, l'effet est magique, comme l'indique le titre et superbement coloré.


Magical Garden de Kari Kola
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Magical Garden de Kari Kola
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Magical Garden de Kari Kola
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On peut admirer le jardin du haut du pont ou descendre sur l'île mais sans pouvoir se promener dans cette forêt enchantée.

Autre ambiance, autre oeuvre, celle du Français Olivier Ratsi et son Onion skin, située plus loin dans la ville, sur la place náměstí jiřího z poděbrad. Les spectateurs sont massivement placés le nez sur l'oeuvre et il est quasi impossible de la percevoir en entier. Dommage.


Onion Skin de Olivier Ratsi
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Onion Skin de Olivier Ratsi
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Onion Skin de Olivier Ratsi
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Autre "video mapping", une projection sur l'église Ste Ludmilla, place de la Paix (náměstí Míru) : escape de Bordos.ArtWorks, un collectif d'artistes hongrois.

Escape de Bordos.ArtWorks
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Escape de Bordos.ArtWorks
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Escape de Bordos.ArtWorks
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Escape de Bordos.ArtWorks
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Escape de Bordos.ArtWorks
Fin du son et lumière
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Autre lieu, le marché-aux-fruits derrière le théâtre "de Mozart" et une installation des artistes tchèques Čestmír Suška (sculpteur) et Petr Pufler (ingénieur) : ocelot. Un énorme cylindre métallique, percé de trous de dimensions différentes est illuminé de l'intérieur et diffuse de la brume. Comme un ovni fraîchement atterri au milieu de cette immense place. Que va-t-il en sortir ?

Ocelot de Čestmír Suška et Petr Pufler 
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Ocelot de Čestmír Suška et Petr Pufler 
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Ocelot de Čestmír Suška et Petr Pufler 
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dimanche 25 octobre 2015

Signal Festival I

Tant d'activités pour le moment et si peu de temps le soir en rentrant tard pour écrire, poster les photos, partager...

En vrac, sans ordre de préférence, quelques clichés (tant bien que mal vu le peu de luminosité autour de certaines des oeuvres) de ces 3 soirées magiques d'exploration du festival de la lumière des lumières.

Dans les jardins derrière le Ministère des Finances (Vojanovy Sady, dont nous avons récemment parlé), une installation, avec audio, des artistes français Roland Devocelle et Auday Rocher intitulée [M]ondes. Sans doute la photo qui fut la plus difficile à faire mais une ambiance très douce, très feutrée avec de gracieux mouvements de lumière dans les arbres.

[M]ondes De Atsara_FR_Photo jfg

Non loin de là mais le long des berges de la Moldau, une oeuvre interactive de l'artiste portugais Joao Martinho Moura, wide/side. La silhouette épurée du spectateur devant une caméra se trouve répliquée dans les images qui défilent sur l'écran. Les enfants s'en donnent à coeur joie.

Joao Martinho Moura, wide/side
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Joao Martinho Moura, wide/side
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Nous passons ensuite dans le "dôme" (voir post précédent) pour voir nimbes, le spectacle avec musique du Français Joanie Lemercier. Sans doute mon oeuvre préférée cette année.

L'intérieur du dôme, spectateurs debout,
tête levée vers ce drôle de nouveau ciel
nimbes - Joanie Lemercier
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nimbes - Joanie Lemercier
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nimbes - Joanie Lemercier
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nimbes - Joanie Lemercier
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nimbes - Joanie Lemercier
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nimbes - Joanie Lemercier
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nimbes - Joanie Lemercier
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Et un pont de traversé. Nous voilà devant le Rudolfinum et les voiles colorés de l'artiste américaine Janet Echelman. Vu la foule attendue, certains ponts et certaines artères ont été coupés au trafic voiture. Quel bonheur de pouvoir déambuler à son aise.

1.26 de Janet Echelman
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1.26 de Janet Echelman
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En s'approchant de l'oeuvre, force est de constater que ce festival, gratuit sauf le spectacle dans le dôme, nécessite des moyens techniques importants et donc des moyens financiers aussi. Cette année, le festival a fait appel au "crow funding" pour boucler le budget 2015 et commencer à organiser l'édition 2016. Réussi largement au-delà des espérances !

1.26 de Janet Echelman
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1.26 de Janet Echelman
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L'oeuvre suivante, c'est du "video mapping", autrement la projection d'images sur une façade : the dive de l'artiste tchèque Petr Krejčík qui a choisi la façade rococo du Palais Kinsky sur la place de la vieille ville.
the dive de Petr Krejčík
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the dive de Petr Krejčík
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the dive de Petr Krejčík
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the dive de Petr Krejčík
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the dive de Petr Krejčík
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dimanche 18 octobre 2015

Stadion Strahov

En route en tram puis en bus vers le stade de Strahov pour une visite VIP avec les Néerlandophones de Prague et leur association De Lantaarn. Comme on peut le voir ci-dessous, par un beau dimanche d'automne.

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Situé sur une colline encore plus haut perchée que le Château, l'endroit n'incite guère à la visite. Le stade est dans un état de déliquescence avancé. Au milieu de la place devant le stade trône la tour de ventilation du long tunnel routier de Strahov, qui traverse la colline, un peu le tunnel de Cointe des Pragois...
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Mais pourquoi aller visiter un truc aussi pourri, me direz-vous. Tout d'abord parce que ce stade est le tout premier à avoir vu le jour à Prague (inauguré en 1926) et qu'aujourd'hui encore, avec ces 220 000 spectateurs possibles, il est le 2e plus grand au monde. Il contient, au sens propre et au sens figuré, 9 terrains de football.

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Ensuite parce qu'il est toujours utilisé pour les entraînements du club de foot de Prague (le Sparta), du club des juniors etc. Les bureaux sont toujours occupés par l'administration du Sparta mais aussi par toutes les associations liées de près ou de loin au sport en République Tchèque.


Devant les bureaux
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Près des bureaux
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Plaquardé devant les bureaux,
cela dit tout...
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Enfin 1, parce que le Stadion Strahov fait l'objet d'intenses débats au sein de la population et de la classe politique. Qui est pour la rénovation ? Qui est pour la démolition et la construction d'un quartier résidentiel ? Qui est pour la démolition et la construction d'un centre commercial ? Au départ les gradins étaient tous en bois mais ils ont progressivement été remplacés par le béton à l'exception des tribunes devant la loge présidentielle. Mais ils sont dans un état....

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Pour aller sur le toit, nous passons par la loge présidentielle. Moche comme tout, voire minable. Pas même eu envie d'en faire une photo. Par contre la vue de là haut est magnifique. Presque à 360°...


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Enfin 2, parce que le stade n'a jamais accueilli de réelles compétitions sportives reconnues au niveau international mais a essentiellement été utilisé comme terrain d'entrainement par SOKOL, une société de gymnastique tchécoslovaque qui l'utilisait pour des exercices de gymnastique de masse. Ce mouvement sera récupéré par les Communistes qui y organisent les fameuses Spartakiades, dont les extraits montrés à la télé m'ont toujours impressionnée. 

Dans les coursives
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Dans les coursives
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Dans les coursives
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