La fondation du festival du Printemps de Prague (Pražské jaro) remonte à l’immédiat après-guerre, inauguré en 1946 par le président de la République tchécoslovaque Edvar Beneš. L’Orchestre Philharmonique tchèque fut l'invité d'honneur de la première édition du festival à l'occasion du 50ème anniversaire de sa création.
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| Visuel de la Saison 2014 |
Dans les premières années sont mis à l’honneur d’une part les grands compositeurs tchèques comme Bedřich Smetana, Antonín Dvořák, Leoš Janáček et Bohuslav Martinů, d’autre part les musiciens issus des pays alliés sortis victorieux de la guerre (Etats-Unis, France, Grande Bretagne et Union Soviétique). L’américain Leonard Bernstein y fit ses débuts internationaux, tout comme les virtuoses russes David Oistrakh (violon) Sviatoslav Richter (piano) et Mstislav Rostropovitch (violoncelle).
Quand je dis "pour tous les goûts", le baroque sur instruments anciens est représenté aussi. Et ce soir je vais écouter le Freiburger Barockorchester dans du ... Jean-Seb. Au programme (sans risque) 4 des 6 Brandebourgeois et une des Suites pour Orchestre. Ces dernières ont d'ailleurs été enregistrées par le Freiburger Barockorchester et leur CD est une pure merveille, un bijou musical précieux.
Un excellent concert, agrémenté d'une surprise stylistique avec le 5e Brandebourgeois, que les musiciens font sonner comme de la musique de chambre. Déroutant. A la fin du concert, la salle hurle son plaisir et malgré la générosité de leur prestation, le groupe se fend d'un bis (Telemann, le "presto" final du concerto pour flûte à bec, flûte traversière et cordes en mi mineur - TWV 52:e1). De quoi terminer la soirée en sortant de la salle en dansant.
Quand je dis "pour tous les goûts", le baroque sur instruments anciens est représenté aussi. Et ce soir je vais écouter le Freiburger Barockorchester dans du ... Jean-Seb. Au programme (sans risque) 4 des 6 Brandebourgeois et une des Suites pour Orchestre. Ces dernières ont d'ailleurs été enregistrées par le Freiburger Barockorchester et leur CD est une pure merveille, un bijou musical précieux.
Un excellent concert, agrémenté d'une surprise stylistique avec le 5e Brandebourgeois, que les musiciens font sonner comme de la musique de chambre. Déroutant. A la fin du concert, la salle hurle son plaisir et malgré la générosité de leur prestation, le groupe se fend d'un bis (Telemann, le "presto" final du concerto pour flûte à bec, flûte traversière et cordes en mi mineur - TWV 52:e1). De quoi terminer la soirée en sortant de la salle en dansant.
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