Après une salade
sur le pouce, nous continuons le tour du village, nous recueillons un
instant sur la tombe de Machado et allons manger un dessert au Café
des Templiers, autre temple de la peinture puisque Picasso s’y
rendait presque chaque jour pour boire un café et que de nombreux
autres peintres venaient également y taper le carton, draguer ou
boire un godet. Les murs de l’établissement sont couverts de
tableaux de ces artistes, parfois des maîtres, parfois moins…
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Photo jfg |
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Nous entamons
ensuite notre chasse à l’anchois, fierté de Collioure. Autrefois
les anchois étaient pêchés et préparés à Collioure. Aujourd’hui
l’anchois a disparu de ses eaux mais la préparation a toujours
lieu ici. Mais où acheter ces anchois de Collioure ? Une
aimable vendeuse nous dit au Carrefour ou à l’usine même. Notre
p’tite feye nous envoie au carrefour de Banyuls où nous ne
trouvons que des anchois Carrefour… Retour à Collioure, direction
l’atelier de préparation des bestiaux. En plein centre-ville nous
tombons sur un « petit » Carrefour. Coup d’oeil.
Eurêka. Enfin des anchois de Collioure.
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Comme nos avions
décollent très tôt le lendemain, nous avons décidé de dormir
dans l’hôtel de l’aéroport de Barcelone. Nous ferons 5 x (sic)
le tout grand tour de l’aéroport pour trouver l’entrée de
l’hôtel. Signalétique de merde ! Non, pire :
aucune signalétique du tout ! Un gardien, exaspéré de nous
voir passer et repasser par où on ne pouvait normalement pas, nous
conduira à la bonne entrée de l’aéroport, celle qui doit mener à
l’hôtel. Mais une fois à l’intérieur, il n’y avait pas de
panneaux indicateurs pour l’hôtel. Il fallait savoir, mais nulle part sur la réservation ce n’était
écrit, qu’il fallait suivre « Centro de negocios ».
Nous finissons par arriver à la réception de l’hôtel, fourbus et
de mauvaise humeur. Pour entendre qu’il n’y a pas de wifi ni de
connexion Internet dans les chambres…. Moche fin de voyage et
tristesse d’être à nouveau séparés pour les 6 prochaines
semaines.
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